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Le blog de Séguié christian

La banque qui donne envie de partir, histoire avec la banque im-populaire

22 Décembre 2019 , Rédigé par Séguié christian Publié dans #banque, #les piquoirs, #pub

Voici une histoire avec une banque, c'est l'im-populaire, c'est un divorce qui a été pénible qui a explosé en mai pour finir en décembre.

Et pourtant l'histoire a bien commencé au siècle dernier, on m'a dit (et ce n'était pas un slogan publicitaire), à Sant Po, le client n'est pas un numéro mais une personne. J'ai par ailleurs une pensée à mon conseiller dont le père habitait à Montner et qui est partie trop tôt voir les étoiles.

La banque me soutient, crédits pour commencer par les travaux de l'atelier et puis la voiture que j'ai encore.

Partie sans argent, deux crédits sans problème.

Et puis vient le temps des mauvais vents, les personnes défilent et vient le temps des frais bancaire qui explosent. Mon comptable écrit pour dire une hausse proche de 200% sans crédit, ni agio. Un responsable viendra à l'atelier pour me répondre, "vous avez un comptable qui ne sait pas compter" je me rappelle de sa phrase (non écrite dommage). Mais si mon comptable ne sait pas compté, les frais repartiront dans une baisse aussi spectaculaire que la hausse, mais pour la différence l'erreur sera pour moi.

Enfin bref, la première partie était excellente, la deuxième commence par des tensions, la troisième ira au divorce brutal et violent, c'est l'histoire qui va suivre.

Le projet "pomme de pin" va commencer en 2017, c'est le temps des essais et des tests, du travail sans argent au bout.

Avec le premier des trois conseillers qui vont se succéder, le choix est de prendre un découvert autorisé le temps de préparer le futur projet. Il est question de mettre en sommeil mon entreprise, mais non, pas besoin, on vous suit. Et je signe un papier.

Le temps passe, le chiffre d'affaire chute, le découvert autorisé augmente, plus rien ne se signe. J'ai dit une limite, une frontière interdite à franchir de moins cinq milles, cette somme ne sera jamais franchie.

Des tensions sont là, car rien n'est signé, c'est tout à l'avantage de la banque. Le chiffre bouge et bien entendu sans rien me dire, au lieu d'être tranquille, non !

La technique de la banque est simple, écrire un courrier pour qu'il arrive le vendredi, la banque étant fermée le week-end, remettre à la somme était à coup de 20 euros la lettre et hop la banque en profite.

Ici ce n'est pas l'autorisation de découvert qui coute chère, c'est la modification et les lettres qui suivent qui explosent les frais.

Le mois de mai 2019 commence, l'enfer arrive (l'histoire sera longue)

Car tous les voyants passent au vert, le projet pomme de pin est lancé et la menuiserie a beaucoup de boulot, les écritures en rouge seront histoires anciennes, du boulot et de l'argent pour non seulement bouger le trou mais bien plus.

Et voilà que le troisième conseillé arrive et le premier contact sera à l'image de la suite mais pourtant un peu avant, j'ai écrit deux fois, le 1er mai puis sans réponse 10 jours après pour prévenir que je vais avoir un problème en fin de mois, je suis passé par le site internet de la banque (détail important)

Je suis au Mans et j'ai gardé le texto (un vendredi encore une fois) je cite "Merci de contacter votre agence"

Je trouve que le SMS est classe, car si le conseiller a envie de me parler, le téléphone est plus direct, surtout que si j'appelle, je vais passer par l'accueil qui me dira le conseiller n'est pas disponible et blablabla, le week-end viendra.

A ce moment je pense que le découvert autorisé est à cinq milles sauf que non, il est à trois sans le savoir bien entendu car cela ne sera pas être drôle.

Pour la suite, j'ai pris un rendez-vous, et je vais découvrir le troisième conseiller, une ordure véritable, et je vais vous le décrire, un homme la quarantaine, avachi sur son siège, regardant de temps en temps l'ordinateur, je vois bien qu'il a envie de poser les jambes sur le bureau, mais sans oser le faire. Dans la style : parle toujours, j'écoute pas quoi qu'il arrive.

Il est direct, il ne me connaît pas, ne sait rien, mais il me dit direct, je vais écrire au journal officiel, il menace toujours dans une semaine le découvert sera supprimé directement.

Alors que moi, j'ai du boulot, des devis signées, le chantier du Mans sera payé en plusieurs fois, chèques à l'appui, le chantier du château de Quéribus est important, et encore d'autres devis, plus petits et classiques sans oublier de dire que le catalogue de la pomme de pin sera financé par la région.

Maintenant pas le choix, direction le médiateur de la banque populaire. Le directeur m'appelle et me donne un rendez-vous avec lui, le conseiller dans le bureau. Je ne vais parler qu'au directeur, mais là comme c'est étrange le conseiller est assis normalement bien droit sur la chaise. Et voici des informations succulentes sur les dysfonctionnements de la banque, attention c'est du lourd.

Si les deux messages par le site ne sont pas arrivés, c'est qu'il ne faut pas passer par là, et que les messages ne sont par archiver (c'est du bon mais la suite va être piquante) et puis il faut laisser le nouveau conseiller pendre sa place. Sauf que sur les relevées que je vais imprimer par la suite, le nom du conseiller est indiqué bien avant. (plus d'un mois pour prendre son poste, ce n'est pas un rapide)

Ensuite l'ancien conseiller a fait quelques choses interdits avec des découverts autorisés dépassant plus d'un mois. Comme si moi j'étais responsable, c'est lui qui pilote pas moi.

Enfin bref, alors que c'est inutile, retour à moins 5 milles pour un mois puis silence radio (qui veut dire qu'après ce sera zéro mais sans le dire).

Entre-temps, le chantier de Quéribus va prendre un retard de 15 jours. Et revoici la valse du courrier à 20 € sauf que c'est l'été, le mois d'août, le mois ou la vie s'arrête et que l'ordinateur se met en pilotage automatique. Retour au médiateur qui me dit, en août le personnel est moindre et l'attente est plus grande.

Le résultat est simple, retour du découvert pour les 15 jours, entre-temps une somme immense de frais pour la banque.

Le dialogue est rompu, troisième passage au médiateur, un dialogue pour rien en plus car le compte est positif sans le savoir, mon accès au site étant minimum pour raison de budget.

J'ai une fois de plus la dernière discussion sera à voir avec le directeur de l'agence, du correct à incorrect. Il en a marre, il me dit qu'il a trop de clients pour s'occuper de gens comme moi, je suis un menteur. Il me dit qu'un crédit doit toujours être remboursé" comme si je ne le savais pas. Voici qu'il me prend pour un enfant, un débile ... Et une dernière pour la route, il m'interdirait à l'avenir tout crédit de 50 €.

Comme quoi, c'est beau la méchanceté avec des petites phrases, un droit à l'insulte gratuite sans gros mot.

Mais une chose est bizarre, le dialogue à Sant Po est impossible, mais alors pourquoi pas faire un transfert sur Rivesaltes ? Au final,  ce serait plus pratique pour moi avec moins de kilomètres à faire.  

C'est trop de clients ? C'est plutôt bien d'en avoir trop que trop peu !

L'histoire ne s'arrête pas là. Car entre-temps et par deux fois une autre banque m'a fait un appel du pied (c'est la banque dans un monde qui bouge). Mais changer en pleine tempête, je n'étais pas pour. Mais maintenant je ne suis plus en pleine tempête, le compte est bien garni et hop ouverture d'un autre compte avant de faire le transfère.

Comme toujours je dis la vérité, cartes sur table. Et je vais me régaler.

L'ancienne banque a toujours refusé de mettre le nom de l'entreprise sur le compte, c'est illégal !

Le conseiller n'a aucune information sur moi et mon entreprise, c'est son dire, mais c'est interdit, il doit connaitre l'histoire en cas de crédits et le bilan financier.

Le médiateur ne doit jamais être le directeur de l'agence, c'est interdit et pourtant, par trois fois ce fut lui.

La classe sera toujours la classe, voici le temps de fermer le compte, toujours plein du chantier de Quéribus. L'autre étant bon sans avoir besoin de verser de l'un à l'autre. La nouvelle banque écrit à ma place pour faire fermer le compte. Le conseiller attendra les 15 jours pour prendre la lettre, fermer le compte et rien dire (15 jours après toujours aucun papier me disant la fermeture du compte) la classe du perdant sans doute. Je suis au courant car la somme est arrivée sur l'autre compte.

C'est que lui a du flaire, attendre que les beaux jours arrivent pour faire fuir le client, le menteur a bien dit la vérité, le catalogue sera bien financé par la région, c'est bête !

En plus maintenant je vais faire votre publicité avec des slogans détournés : Banque et im-populaire à la fois La banque de ceux qui entreprennent (de pourrir) la vie. -  Additionner (pardon soustraire) les forces. Multiplier (non diviser) les chances. -  La banque qui donne envie d'agir (en partant loin).

Maintenant, je vais agir sur mes reportages photos en floutant méchamment la marque, je vais aussi faire un peu de ménage sur le parking de la chambre de métiers, souvent des cartes de visites sont sur le chemin, pourtant c'est propre comme site, mais les cartes sont souvent disponibles, moi je vais te les mettre à la poubelle, trop de clients m'a dit le directeur, alors jeune d'autres établissements existent.

Enfin bref, après l'enfer, ne pas dormir, vient de temps de ne pas être heureux, car oui l'histoire est terminée, mais les dégâts restent, les souvenirs ne s'oublient pas.

Maintenant tout va bien avec la nouvelle banque, ce sont des gens sérieux et qui ne changent pas tous les ans.

En écoutant chanson et en voyant le clip, c'est bien lui.

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D
salut l'ami, texte trop long et trop de détails qui auraient dû rester du domaine du privé ; je comprends ta colère bien sûr mais je te conseille quand même de retirer ce texte, quitte à publier un nouveau message moins personnel où tu déplorerais l'attitude de la banque en question, qui méfie toi, pourrait se sentir diffamée. En toute amitié
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S
Et encore ici c'est édulcoré, j'aurais pu ou du être pire car je pense pire. Me pourrir la vie, m'a pas de prix. Ils ne seront pas content mais si l'histoire devait continuer ils devraient expliquer le pourquoi de beaucoup de choses et pas sur que remuer la merde soit bonne chose pour eux car après tout, je ne suis rien ou si peu pour eux.
S
Moi, c'est la Banque Postale qui m'avait joué un très mauvais tour: incompétents et incorrects.
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