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Le blog de Séguié christian

Première journée de la formation

17 Janvier 2019 , Rédigé par Séguié christian Publié dans #Présentation, #formation, #coop'art

Photo chambre des métiers de foix.

Photo chambre des métiers de foix.

La Coop'Art est commencée à la chambre des métiers de Foix.

Une journée très chargée avec le matin au programme : la présentation du concept de fablab. Comprendre le fonctionnement d’un fablab et de ses outils. Les enjeux du numérique dans la fabrication artisanale. Venez tester ses machines et outils + concepts inhérents (innovation, open source, etc)

Ce fut un peu long, l'historique d'un Fablab, car si j'ai noté que l'esprit de partage a commencé en 1970, il n'a fait que grandir d'année en année pour être maintenant presque partout. Un à Foix pour la Coop'art à la chambre des métiers, ou un a Perpignan avec la CCI, où en aparté il y aura les Makers-Faire en fin de semaine prochaine.

Sans grand intérêt car si l'histoire est utile, mais on est surtout dans ce domaine dans l'actualité et le progrès transforme des siècles d'histoire de l'outil en quelques mois maintenant. 

Sinon en tant d'amateur de chat, j'ai retenu le MIAOU qui est une Méthode d'itérative d'Analyse Orienté d'Usage. Enfin bref le savoir ou pas ne change pas grand-chose.

Pour moi ce sera un outil parfait faire de la communication, car les imprimantes 3D, défonceuse numérique et autres ne rentrent pas dans le besoin du projet "Pomme de pin".

Un commentaire dessus, j'ai connu la première fois à Fablab pour les Makers-Faire de Perpignan, sauf que jamais j'aurai osé y faire un toc toc, pour moi c'était plus un outil de formation pour futur ingénieur. Mais finalement c'est bien de savoir que c'est aussi ouvert pour nous artisan d'art et dans un chambre des métiers, c'est peut-être mieux avec les ingénieurs de Perpignan, malgré la distance.

Le rond et mon nom.

Le rond et mon nom.

L'après-midi avait pour programme : Accélérez vos projets grâce à des méthodes créatives de Design Thinking. Les artisans sont attendus avec leurs matériaux et leurs projets.

Ce fut bien mieux, la Coop'Art ou une Coopérative d'artisan d'art est bien respecté à mon plus grand plaisir. On n'a pu dialoguer tous, une vingtaine dans la salle pour nous présenter et parler de nos problèmes, du futur et du bien fait de la formation.

Si pour moi qui démarre avec le projet "Pomme de pin" c'est plus facile car l'histoire commence ou continue en ce transformant sans bouger de lieu. Si chacun a pu parler de ces problèmes moi j'ai surtout parlé d'un problème avec un s à la fin avec la communication et de savoir vendre.

Si chacun fait des expositions grandes ou petites on a tous le même problème c'est vendre, et pour ce faire il faut être bon et le somme-nous ? Un exemple personnel , le salon est inventeur a été fabuleux, j'ai eu beaucoup de monde sur mon stand, mais pourtant mon stand était loin d'être parfait. Le choix de bien mettre sur la table, les informations visuelles, la lumière, tout est important et j'aurai dû être bien meilleur ...

J'en parlerai par la suite, mais l'écoute est parfaite, la Coop'Art est bien parti, et espérons que l'esprit reste entier, mais je suis sûr que la question ne se posera pas, la motivation est très visible et c'est plus qu'agréable.

Pendant la présentation j'ai été l'un des seuls à présenter quelques pièces en pomme de pin. Le rond avec deux incrustations de pomme de pin a voyagé de participant à participant et responsable.

Alors, il faut le dire dans un moment compliqué, où l'on parle presque que des choses qui ne marchent pas bien, que parfois tout va bien. Et il faut le dire bravo pour l'initiative.

La pomme de pin à la Coop'Art

La pomme de pin à la Coop'Art

Sur le site de la Chambre des métiers, voici leur présentation.

COOP'ART : la coopération au service des Métiers d'art et du tourisme

L'association des chambres de métiers des Pyrénées est partenaire du projet de coopération transfrontalière COOP'ART. Celui-ci sera lancé officiellement le 19 mars à Martres Tolosane. 

Le projet : Le secteur de l’Artisanat d’Art est majoritairement composé de petites unités employant peu ou pas de salariés. Ces entreprises, économiquement fragiles, apportent une forte valeur ajoutée à leurs productions, grâce à un savoir-faire spécifique et traditionnel. Elles participent ainsi pleinement de l’identité culturelle et patrimoniale du territoire Poctefa, en renforçant son attractivité touristique notamment. L’enjeu de COOP’ART est de rendre le territoire de projet touristiquement plus attractif grâce à une offre qualitative et diversifiée des métiers d’art impliquant solidité économique des entreprises, créativité, dynamisme et promotion collective de l’artisanat d’art. L’objectif général du projet est donc d’améliorer le potentiel artistique (culturel et identitaire) et économique des entreprises d’Artisanat d’Art pour développer le patrimoine culturel et l’attractivité touristique du territoire de projet. Pour atteindre cet objectif, les partenaires espagnols et français définiront et mettront en oeuvre une stratégie globale et partagée d’accompagnement des entreprises d’artisanat d’art vers l’innovation, la qualification et la valorisation de leurs productions sur un marché touristique durable. Ce projet cible principalement les artisans & les entreprises de l’artisanat d’art des secteurs céramiques et faïences, laine, textiles, bois, verres et vitraux, bijoux. Les résultats attendus se traduiront notamment par un itinéraire touristique transfrontalier.

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D
Bonsoir Christian. Je ne connaissais pas ce terme employé autrement que pour les félins ! Bisous
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É
C'est une formation qui doit être très intéressante et l'occasion d'échanger avec d'autres artisans (même si tu n'en manques pas). C'était impossible de trouver ton MIAOU...
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L
Sur le premier point, le dialogue entre artisans d'art n'existent presque pas, le dialogue est surtout entre amis, c'est bien là un gros problème selon moi. <br /> Sur le deuxième je confirme, impossible à trouver !
S
A te lire, ça commence bien pour toi! Dommage que les organisateurs utilisent ces termes grotesques de "Makers Faire" ou Design Thinking", issus de l'Américain; comme si notre langue n'était pas assez riche!
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L
C'est la mondialisation, l'anglais passe largement devant, alors devons-nous rester dans notre coin en gardant le Français, ou ouvrons-nous au monde avec quelques termes que le monde utilise ?